Le secrétaire national du RHDP, chargé du monde associatif, Karim Ouattara était dans la région de Gbêkè, le samedi 18 février 2023 pour une mission de terrain.
Le secrétaire national du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), chargé du monde associatif, Karim Ouattara, a saisi l’occasion de ce diner en compagnie de plusieurs responsables de la société civile de Bouaké, notamment, des présidents d’ONG et d’associations de jeunesse, pour expliquer les missions qui leur sont assignées.
<< Nous sommes chargés d’identifier toutes les organisations de la société civile, notamment, des ONG et mouvements proches ou non du RHDP qui œuvrent pour le bien-être des ivoiriens. Une fois identifiées, il nous appartiendra de regrouper ces organisations, recensées dans plusieurs régions du pays, dans un même cadre pour un échange d’expériences et de contacts pour étoffer nos carnets adresses >>, a-t-il expliqué.
Karim Ouattara, qui avait à ses côtés certains de ses adjoints, notamment, le conseiller du premier ministre, Touré Souleymane, et la présidente de l’association Diabo Ville émergente, Rebecca Yao. Pour elle << cette mission consiste également à uniformiser les approches de ces différents mouvements afin de récompenser leurs efforts sur la base de critères transparentes acceptées de tous >>. Poursuivant, le secrétaire national du Rhdp en charge du monde associatif a profité pour expliquer quelques points saillants du pays. Cette rencontre a permis également d’échanger autour de certains sujets brûlants de l’heure se rapportant, notamment, à la question de la carte de résidence, de la cherté de la vie et des péages. Sur la question des péages, il a estimé qu’avoir 19 péages sur les routes ne devait pas tant déranger les ivoiriens par rapport aux nombres incalculable de barrages illégaux qui existaient dans le pays jusqu’en 2010.
<< 19 péages dont les ressources sont tracées et orientées dans les caisses de l’Etat ne devraient pas, à notre avis, être plus dérangeants qu’un nombre incalculable de barrages à péages illégaux que nous avons connu jusqu’en 2010 où les passagers des véhicules de transport en commun payaient à un comptoir non officiel >>, a-t-il estimé.
Bernadin Kouamé,
Correspondant régional