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Production de qualité : plusieurs femmes sensibilisées sur l’importance de la normalisation en entreprise

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Quelques femmes intervenant dans le domaine de l’agro-industrie ont reçu une formation sur l’importance de la norme. Dans le cadre de l’AWI Permanence organisée par la fondation AWI, la séance de ce jeudi 23 mai 2024 a porté sur la « production de qualité ».

Avec pour sous-thème « production de qualité et norme de production », la table a séance a réuni, Yapi Affa Fabien, directeur au laboratoire d’essais, de qualité, de métrologie et d’analyses (Lanema), Ahian Kouamé Georges Roland sous-directeur du contrôle et de la Normalisation à la direction de la promotion de la qualité et de la normalisation et docteur Camille Ehui Aka du centre de recherche océanologique et de Kouamé Kouabran Alexis, de l’office ivoirien de l’office ivoirien de la propriété intellectuelle (OIPI).

Selon les experts dans le domaine de la normalisation, la qualité d’un produit ou d’un service repose sur des normes. Les avantages d’un produit normalisé sont divers. On peut compter l’accès facile au marché national comme international, faire des économies avec une production rationnelle en évitant le gaspillage, un apport à la sécurité du produit. Et en Côte d’Ivoire, nous enregistrons plusieurs structures techniques et crédibles pour mettre en œuvre ces actions.

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Les modalités pour avoir une norme est requise par la capacité à produire des biens ou service qui satisfont pleinement les clients, en d’autres termes, une capacité à produire de façon régulière, « tant qu’on ne maitrise pas le process, on ne peut pas produire la même chose », a expliqué Yapi Affa Fabien, directeur au laboratoire d’essais, de qualité, de métrologie et d’analyses (Lanema).

Au niveau de la propriété intellectuelle, les auditeures présentes à cette séance ont évoqué le coût exorbitant pour acquérir une normalisation dans leur domaine. Betty Taylor, chef de projet a expliqué que la fondation accepte d’accompagner les femmes à se mettre en groupe pour plaider en leur faveur, dans le but de réduire le coût. Par contre, elles paieront par échéance. Au sortir de cette formation, des femmes ont reçu leur certificat.

Sandra KOHET