La mission de Yamoussa Coulibaly, le Vice-président de la Chambre nationale des promoteurs et constructeurs agréés de Côte d’Ivoire (Cnpc-Ci) chargé de la Politique générale et des Réformes auprès du Ministre-Gouverneur du District autonome d’Abidjan a porté des fruits.
Cissé Ibrahim Bacongo a accordé une audience au président de la faîtière des acteurs de l’immobilier, lundi 05 août 2024, dans ses bureaux annexes à Koumassi. L’objectif de cette rencontre était d’aboutir à un partenariat entre les deux parties pour la construction de logements décents pour les populations et redonner à la capitale économique ivoirienne son lustre d’antan. Les membres du cabinet du Ministre-Gouverneur ont, également, pris part à cette séance de travail. Notamment, le Directeur de Cabinet, Touré Mathieu, la Directrice générale des Services administratifs, Diby née Yapo Brigitte et le Conseiller spécial N’Dri Narcisse.
Le président de CNPC-CI a profité de cette visite pour exprimer son admiration et son soutien à son hôte pour ses actions remarquables qui ont grandement contribué à assainir le tissu urbain et à protéger des vies humaines.
« Nous avons également présenté nos remerciements pour ses initiatives et soumis des doléances pour un assainissement plus approfondi du paysage urbain, ainsi qu’un renforcement de l’implication des promoteurs immobiliers agréés dans les projets de rénovation urbaine du District. Le Ministre-Gouverneur a promis de discuter de nos préoccupations avec ses collaborateurs et de mettre en place un cadre permanent de collaboration entre la Cnpc-Ci et le Daa », a-t-il renchéri.
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La Chambre nationale des promoteurs et constructeurs agréés a pour vocation d’intervenir sur les problématiques liées à la promotion et à la construction immobilière en terre d’éburnie. L’accord entre ces entités permettra de booster les opérations de Cissé Bacongo.
Rappelons que le gouvernement de Côte d’Ivoire a lancé, dans la capitale économique, une nouvelle vague de « déguerpissements », nom donné aux destructions des quartiers informels par les pouvoirs publics.
Sandra KOHET