Amadou Koné n’est pas allé du dos de la cueillette pour dire ses quatre vérités à ses détracteurs.
C’était à l’occasion de la remise de 3000 kits scolaires aux enfants issus de familles démunies de la commune de Bouaké, qu’il a initiée, dimanche 02 octobre 2022 au centre culturel Jacques Aka de Bouaké. Le ministre des transports par ailleurs député de Bouaké-commune n’est passé par quatre chemins pour dire toutes ses vérités à ces personnes politiques tapies dans l’ombre qui passent leur temps à le dénigrer ou à dire des contrevérités sur sa personne.
Pour une fois, le ministre est sorti de sa réserve pour dire à ses détracteurs qu’il entend, il voit et il sait tout ce qui se trame dans son dos contre sa personne, mais il ne dit rien parce que, son seul souci, c’est le développement de Bouaké, deuxième plus grande ville de Côte d’Ivoire. Il a invité ces derniers à se mettre au travail. “Tout ce qui m’intéresse, c’est tenir les promesses, c’est le développement de notre cité. C’est le bonheur de nos populations et surtout rendre tout ce que j’ai promis aux populations pendant la campagne électorale” a-t-il fait savoir..
A ces détracteurs, il a adressé une invite, celle du rendez-vous du bilan. “J’invite ceux qui passent leur temps à bavarder de faire la politique autrement que de dénigrer les gens qui ont le souci d’aider les populations” a recommandé Amadou Koné. Et de poursuivre en faisant savoir que “tous ceux qui aspirent à des postes électifs, qu’ils attendent, le président Alassane Ouattara car c’est celui qu’il désigne qui doit être à un poste électif ou qui ne doit pas l’être.” Pour sa part, il soutient que “Pour l’instant, je suis au travail.” “Il faut régler les problèmes des populations. laisser les bavardages, laissez ceux qui bavardent, travaillons” a-t-il asséné. Il a donné “rendez-vous à ces bavards dans quatre ans pour mon bilan entant que député de Bouaké”, a assuré Amadou Koné.
Il a aussi exhorté les uns et les autres à faire la politique dans la paix et dans la fraternité pour le bonheur des populations. “Il y a un moment pour faire la politique et un autre moment pour aider les parents qui sont dans le besoin” a-t-il indiqué, estimant qu’il n’est pas intéressant de “se braquer contre les autres.” Il a recommandé “la cohésion et la stabilité pour que les enfants évoluent dans de meilleurs conditions”.
Douwlè Kwame,
Correspondant régional
