Mlle VOUNAH Osséane a décroché la couronne de miss Awoulaba Guémon au terme de la rude bataille des beautés. Cet événement a réuni neuf candidates pleines de grâce et de charme, représentant fièrement chacune des différents départements de la région du Guémon. Le vendredi 7 juin 2024, la salle du foyer de Bangolo, dans la région du Guemon, a été le théâtre d’une compétition exceptionnelle lors de la présélection régionale du concours Awoulaba Guémon 2024.
Organisé par le comité local, le concours a mis en avant la culture, l’élégance et la beauté authentique de la femme africaine. Les jeunes femmes ont rivalisé dans diverses épreuves, mêlant prestations artistiques, défilés en tenues traditionnelles et interviews individuelles devant un jury averti, composé de personnalités locales et d’experts en mode et culture.
La présélection a été marquée par des moments de grande émotion et de solidarité entre les candidates, chacune apportant sa touche personnelle et unique. L’assistance, composée de supporters venus nombreux, a acclamé avec ferveur les prestations, rendant l’atmosphère à la fois électrique et festive.
À la fin de la soirée, c’est Mlle VOUNAH Osséane, avec 132 points, qui a conquis le jury et remporté le titre régional. Elle représentera la région du Guemon lors des prochaines présélectionnés pour la finale nationale du concours Awoulaba 2024, prévue pour août prochain à Abidjan. “Je suis honorée et émue de porter les couleurs de ma région à ce niveau prestigieux, je remercie tout le comité local qui nous a encadré et a tout le public du Guemon qui m’ont énormément encouragé. Je promets aux populations de ma région que je reviendrai avec la couronne nationale dans le Guemon” a-t-elle déclaré avec enthousiasme.
Le concours Awoulaba, au-delà de célébrer la beauté, est aussi un vecteur fort de culture et de tradition, mettant en avant les valeurs et le patrimoine de la Côte d’Ivoire. La région du Guémon peut être fière de ses représentantes, qui ont su démontrer avec panache et dignité le riche éventail de la culture locale.
Leila KONE, correspondance particulière
