La bataille pour le contrôle de l’appareil FPI entre les différentes tendances de ce parti a conduit à la candidature de Laurent Gbagbo, quoique n’ayant pas reçu l’aval de l’ancien président
On en sait un peu plus sur la vraie fausse candidature de Laurent Gbagbo à la présidentielle d’octobre prochain mais dont il a été recalé par décision du conseil constitutionnel qui l’a débouté de sa prétention non fondée sur un document signé et légalisé de sa main.
Qui avait intérêt à salir l’ancien président, aujourd’hui pas au mieux de sa forme et dont le nom est devenu un véritable fonds de commerce pour Pr George Armand Ouégnin et sa cohorte d’amis ? Pour Pr Assoa Adou, grand intellectuel tout comme un grand nombre de militants du groupe d’amis de Laurent Gbagbo, il ne peut y avoir de hasard. Il y a anguille sous roche. Pr George Armand Ouégnin n’ignorait pas que l’ancien Président ne l’avait pas mandaté d’autant plus qu’aucun document n’a été signé des mains de Laurent Gbagbo.
Laurore.net a appris de sources bien informées que depuis sa sortie de la prison de Scheveningen, au Pays Bas, Laurent Gbagbo n’a qu’une seule et unique intention, rentrer au village. Et l’on est en mesure de valider les écrits du confrère Jeune Afrique. Des mici dominici existent bel et bien entre l’homme fort du FPI et Alassane Ouattara.
Pour le dossier de candidature, il s’agissait de freiner les ambitions sournoises d’un haut cadre du groupe de Gbagbo. La personne, selon nos informations, prenaient des contacts pour son parrainage à l’effet d’être candidat. Or, tant que Laurent Gbagbo a le souffle de vie, point question qu’il soit relégué aux calendes grecques. Il fallait donc freiner cette ambition destructrice de la cohésion retrouvée dans le groupe anti-Affi des irréductibles de Gbagbo. Et ça été fait de belle manière.
A.R.S